Nuit de fin d'été romantique...
C’est bientôt l’automne… et selon moi une saison troublante !... La nature prend des teintes colorées… les bois sont beaux à tomber par terre. Nos campagnes vont doucement s’assoupir pour mieux reprendre des forces et nous offrir comme chaque année, ce fabuleux miracle de la renaissance. Et vous, mes douces amies, mes chères lectrices, vous ne changez pas si ce n’est que plus avance les saisons, plus vous me devenez toutes chères, chacune à votre façon et selon vos caractères. Vous êtes toutes uniques et toutes passionnantes et passionnées.
Je bavarde… Je bavarde… et les petites histoires alors !...
Les voici mes chéries… Je vous les offre tel une gerbe de roses pourpres… acceptez les avec indulgence…
« Parfois, quand vous êtes triste, personne ne voit votre chagrin...
Parfois, quand vous pleurez, personne ne voit vos larmes...
Parfois, quand vous êtes heureux, personne ne voit votre sourire...
Parfois, quand vous riez, personne ne voit votre joie...
Mais pétez seulement juste une fois ... » Je sais… c’est limite !...
« Une adolescente dit à une copine :
- Méfie-toi de ce garçon.
Il a déjà fait le même coup à trois filles du lycée. A chacune, il assure qu'elle est la plus belle de la terre et qu'il en est fou. Puis il l'invite à venir écouter de la musique dans sa chambre.
Quand il l'a à sa portée, il lui sert une boisson alcoolisée.
Et ça se termine toujours pareil.
- Tu m'effraies.
- Il y a de quoi ! Ça ne rate pas. Il demande à sa conquête d'un jour de lui faire son devoir de maths. »
« Une femme se promène et rencontre un prêtre. - Bonjour Madame, ne vous ai-je pas mariée il y a deux ans ? -Oui Monsieur le curé -Avez-vous des enfants ? -Non ! Monsieur le curé. Nous essayons en vain d'en avoir depuis notre mariage.
-Je vais à Rome la semaine prochaine et je vais allumer une bougie pour vous.
Huit ans plus tard, elle croise de nouveau le curé devenu évêque
-Comment allez-vous? Lui demande-t-il.
-Très bien.
-Avez-vous des enfants ?
-J'ai 3 paires de jumeaux et 4 filles en plus, soit un total de 10 enfants.
-Ah oui !!! ... Et comment va votre mari ?
-Très bien. Il est en voyage. Il est parti à Rome éteindre votre fichue bougie. »
« Un blagueur invétéré arrive au bureau avec les deux yeux pochés.
Ses collègues s'inquiètent :
- Voilà, explique-t-il, comme j'ai des insomnies, je m'amuse régulièrement, sur le coup de trois heures du matin, à composer un numéro de téléphone au hasard et je demande à la personne, éveillée en sursaut, qui décroche : Devinez qui vous appelle ?
- Et alors ?
- La nuit dernière, quelqu'un a deviné. »
« Ça ne te pèse pas trop d'avoir complètement cessé de fumer ? demande un monsieur à un ami.
- Pas du tout ! En fait, je n'y pense même plus.
- Et ça fait combien de temps que tu n'as pas grillé une cigarette ?
- Deux ans, trois mois, huit jours, sept heures et vingt-quatre minutes. »
« Un chauffeur de poids lourd, qui a parcouru au volant de son camion quelques milliers de kilomètres, s'est complètement identifié à son véhicule, ce qui l'a amené à devenir pensionnaire, quelques mois durant, d'une clinique psychiatrique. Enfin, le médecin-chef le convoque pour lui annoncer :
- Ça y est !
Vous êtes guéri et vous allez pouvoir reprendre votre activité. Avant de quitter cet établissement, avez-vous quelque chose à me demander ?
- Oui, fait le routier, en montrant ses chaussures usagées. Vous pourriez m'équiper d'une paire de pneus neufs ? »
« Un gentleman entre dans un pub très chic de Londres.
- Un whisky, please, sans glaçons !
Le garçon lui sert son scotch pendant que le gentleman regarde une superbe créature blonde (ou brune, c'est au choix). Il se retourne vers le bar pour prendre son verre quand... Horreur ! Un petit singe trempe ses couilles dans son verre de whisky.
- Garçon, à qui est ce singe ?, demande le gentleman
- Je l'ignore, Sir. Demandez au pianiste, il connaît tout le monde
Le gentleman se dirige vers le pianiste et lui demande en effet :
- Connaissez-vous le singe qui trempe ses couilles dans mon verre de whisky ?
- Possible, répond le pianiste. Chantez-moi la première mesure... »
Que vous soit douce la nuit mes reines….
Bisous