La joie de vivre... et... en rire....

Chaque jour que Dieu fait, je me dis que je vis une époque formidable. Car moi, qui a une mobilité réduite, je reste vivant dans un monde vivant et plein de surprises étonnantes… Quelques unes de mes merveilleuses lectrices me font la grâce de maintenir ce contact et après d’elles toutes j’apprends… je ne cesse d’apprendre et tout ça bien sûr me rassure sur la nature humaine…

Et c’est pourquoi je reste toujours de belle humeur, j’occulte systématiquement tout ce qui peut obscurcir mon Eden et toutes les Cassandres ou tous les fâcheux… mais en fait il sont peu nombreux et ceux là je les ignore…

Bon !... C’est pas tout… je redescend de mon nuage… et suis tout à vous mes douces amies…

« C'est Jésus qui marche sur l'eau, alors St-Pierre, en train de se baigner, lui dit :

"T'as tort, elle est vachement bonne!" »

« Samedi matin. Guy s'apprête à commencer sa partie de golf lorsqu'il réalise qu'il a oublié de dire à sa femme que le gars qui répare la laveuse sera là vers midi...Alors Guy retourne au Club house et il appelle à la maison. - Allô ! De répondre une voix de petite fille.

- Bonjour ma chérie, c'est Papa! Dit Guy.

- Est-ce que maman est près du téléphone ?

- Non papa. Elle est en haut dans la chambre avec oncle François.Après une brève pause, Guy dit :

- Mais, Tu n'as pas d'oncle qui s'appelle François chérie !

- Oui et il est en haut avec Maman !

- OK ! Voici ce que j'aimerais que tu fasses. Dépose le téléphone, cour en haut, frappe à la porte de maman et oncle François et dit que l'auto de papa vient juste de stationner dans l'entrée !

- OK Papa !

Quelques minutes plus tard, la petite fille reviens au téléphone.

- J'ai fait ce que tu m'as demandé Papa !

- Et qu'est-il arrivé ?

- Bien, Maman est sortie du lit comme une fusée, sans s'habiller et elle a couru partout en criant comme une folle, puis elle s'est enfargée dans le tapis et a déboulé toutes les marches et elle est inconsciente parterre.

- Mon Dieu ! Puis oncle François ?

- Oncle François lui est sorti du lit comme une fusée, sans s'habiller et a couru partout en criant comme un fou lui aussi et il a eu tellement peur qu'il a sauté par la fenêtre dans la piscine. Il doit avoir oublié qu'on l'avait fait vider complètement pour la nettoyer et il est lui aussi inconscient dans le fonds de la piscine... mais lui papa, il saigne !

Après une longue pause, Guy dit :

-         Piscine ? Nous n'avons pas de piscine ! Suis-je bien au 817-42XXX… »

« Une vieille dame va faire ses courses et commence un créneau pour garer sa Mercedes. Elle est assez lente et s'y reprend à plusieurs fois. Un jeune blanc bec en Peugeot 205 en profite pour lui voler la place sous le nez. En sortant, tout sourire, le jeune annonce : "Jeune et rapide !" et s'en va en rigolant. Alors la vieille appuie sur le champignon et emboutit toute l'aile de la 205 ! En sortant la tête par la fenêtre, elle répond : "Vieille, mais riche !" »

« C'est une femme complètement sâoule qui rentre dans un bar sur le coup de minuit, juste avant la fermeture.

Elle s'assied tant bien que mal sur un des tabourets et interpelle le barman :

- Hep Barbad, barmad, amène-moi un witsy

Le barman lui amène un whisky qu'elle boit d'un trait.

Sans attendre, elle poursuit :

- Hep Barbad, barmad, un autre witsy

Le barman lui amène son scotch, mais cette fois-ci, la femme est penchée lamentablement sur le bar, incapable de maintenir la station debout sans support.

Elle dit au garçon :

- Hep barmad, tes witsys, ils me donnent des brûlures d'estomac !

Le barman s'approche d'elle et lui dit d'une voix patiente :

-         Madame, je ne suis ni un 'barmad', ni un 'barbad'. Et ce que vous venez de boire coup sur coup, ce sont des verres de whisky et non pas des 'witsys'... Et enfin, vous n'avez pas des brûlures d'estomac, c'est simplement votre téton qui pendouille dans le cendrier. »

« Dans une grande entreprise, un chef de service accueille un nouvel employé et commence par lui demander :

" Comment vous appelez-vous? "

" Je m'appelle Albert, et vous? "

Le chef de service est particulièrement agacé par le ton familier de l'employé et lui passe immédiatement " un savon ":

" Écoutez, Monsieur, j'ignore dans quel type de société vous avez pu travailler auparavant et je m'en contrefous... Dans cette organisation, on appelle les gens par leur nom, jamais par leur prénom. Et tout spécialement vos supérieurs hiérarchiques. Vous allez donc m'appeler " Monsieur Blandin " à partir de cette seconde et cessez cette familiarité mal placée. Et d'abord, quel est votre nom de famille? "

" Je m'appelle Monchéri... "

" OK, Albert, vous pouvez disposer. " »

That’s all folks !....

A très bientôt mes toutes belles