J'ai beau battre ma coulpe...
On m’avait pourtant averti : « avec tes blagues, tu prends des risques… » Et puis face à un certain plébiscite j’ai récidivé dans mon travers. Résultat, certaines de mes lectrices ont été vraiment d’une diplomatie exemplaire. Elles ont eu le grâce de ne pas commenter, et ont éludé la question par une éblouissante pirouette qui a fait virevolter leurs jolis froufrous et ont joliment glissé sur le sujet comme les belles patineuses scandinaves.
Il est toujours bon de se remettre en question… Cette nuit donc !... Après en avoir très longuement discuté avec Spirou, nous sommes convenus que dois faire encore plus attention que d’habitude. Mais comme tout intoxiqué, je ferai une période de sevrage…
Elles seront donc courtes… très courtes… je parie sur la loi des nombres… moins c’est volumineux, moins l’imbécillité se remarque, et moins il y aura de mots, moins j’écrirai de c..ies.
Allez donc pour une petite rafale… rires !...
« Si l'amour est aveugle, il faut palper. »
« L'homme n'est pas fait pour travailler, la preuve c'est que cela le fatigue. (Pierre Dac) »
« Ce n'est pas parce qu'on n'a rien à dire qu'il ne faut pas le faire savoir. »
« Certains hommes aiment tellement leur femme que, pour ne pas trop l'user ils se servent de celle des autres ».
Et la pire de toutes dans la nullité :
« Les petits sont à plaindre car ils sont toujours les derniers à savoir quand il pleut. »
(Desproges)
Navrant ! consternant !...
Allez tout le monde au turf et après ça, oubliez !...
Bisous à toutes
Merci Kri