1983... février...

Publié le 12 janvier 2009 par Tristan

1983 février

1^er février

En France, agitation des étudiants en médecine et du monde hospitalier.

1^er février

Boeing annonce l'arrêt de la production du Boeing 727.

4 février

Dissolution de l'Assemblée de la République au Portugal.

4 février

Mort de Karen Carpenter, The Carpenters, 32 ans.

5 février

À la faveur du changement du régime politique bolivien, le juge français Christian Riss obtient l'extradition vers la France du criminel de guerre Klaus Barbie qui s'était pendant de nombreuses années cachés sous le nom de "Klaus Altmann". Chef de la Gestapo de Lyon entre 1942 et 1944, il s'est rendu coupable de nombreux crimes de guerres — tortures, exécutions sommaires, déportations et pillages — qui lui valent d'être surnommé « le boucher de Lyon ».

8 février

Le rapport de la commission d’enquête Kahane entraîne la démission d’Ariel Sharon en Mars.

12 février

Mort de Eubie Blake, pianiste, 100 ans.

21 février

Daniel Mayer est nommé président du Conseil constitutionnel.

21 février

Naissance de Mélanie Laurent, actrice française.

22 février

Mise en service à Toulon du premier sous-marin d’attaque à propulsion nucléaire français, le « Rubis ».

22 février

Mort de Romain Maes, cycliste belge.

22 février

Mort de Sir Adrian Boult, chef d'orchestre.

23 février

Création du Comité consultatif national d'éthique.

24 février

Sortie de la Peugeot 205.

Alors que sa gamme apparaît vieillissante et quelque peu austère, Peugeot mise sur la jeunesse et un design moins angulaire en lançant la 205. La remplaçante de la 104 s’avère en effet bien moins triste et conventionnelle et les clients approuveront. Le modèle sera un véritable succès et ne subira que des évolutions esthétiques mineures jusqu’à 1998, année de sa mise au placard. Sa longue carrière fut marquée par les exploits sportifs de la GTI tant en Rallye qu’en rallye Raid et par le succès de l’économique « Junior ».

25 février

Au Pérou : La région d’Ayacucho est déclarée zone d’urgence et placée sous commandement militaire^[7], sans que la paix y revienne pour autant. Le président Belaúnde Terry donne carte blanche à l’armée pour réprimer la guérilla, ce qui se traduit par une augmentation des violations des droits de l’homme.